Cassandre - t'es comme l'heroine une dose d'exase pour toute une vie d'addiction.

Cassandre Hawkins

« L'homme n'est que poussière c'est dire l'importance du plumeau »

fabuloussatc@tumblr - artiste ~ titre.

NOM : Hawkins, anciennement Fields mais lorsque le scandale de sa famille éclate et que l'identité de son père est révélé, elle remarque le malaise ou l'agressivité des personnes lorsqu'ils entendent son nom comme si elle était coupable des crimes de son père, alors elle n’hésite pas une seconde pour changer pour de nom PRÉNOM : Cassandre, croyez le ou non, ses parents n'étaient nullement sous l'effet d'une quelconque substance illicite lorsqu'ils l'affublèrent d'un prénom pareil. Pas de coke, ni d'héro, shit, acide, amphés, ecsta, canna ou autre... mais seulement le fruit de leur lubie face à la mythologie grec qui n'est autre que la fille du roi de TroieAGE : 30 ans. ORIGINES : Américaine par son père et islandaise par sa mère STATUT : Célibataire MÉTIER : Serveuse TRAIT DE CARACTÈRE : Délurée, extravagante, extravertie, douce et pétillante, garce et attendrissante, elle a le sens du contact, est diablement sociable. Butinant de fleurs en fleurs, elle n'a pas de relations fixes : elle aime varier son entourage. Seuls les membres du quatuor demeurent son pilier et son pied-à-terre, ils sont sa famille, ils sont son tout. Elle n'est pas une fille facile, elle n'est pas coincée non plus, disons que Cassie a tout tenté et adore les situations dangereuses, mais est très loin d'être naïve. Elle a ce caractère où tout explose avec elle, très excessive et impulsive certains iront même par la qualifiée d'instable. Elle ne connaît aucune limite et n'a jamais été capable de s'en fixer, jugeant que chaque comportement dit "normal" était une entrave à sa liberté. Rendre sa propre personnalité identique à celle d'une masse pour plaire lui a toujours semblé inutile et une perte de ce qu'elle est réellement. L'excès est ce qui la caractérise le mieux, aussi bien dans sa consommation excessive d'alcool, que dans l'amour, ou simplement de sa façon de penser GROUPE : A bed for three AVATAR : Maggie Grace

♂♀ test de personnalité

Il s'agit d'un test de personnalité rapide qui vous permettra de définir votre groupe. Pour répondre il suffit de laisser la réponse qui convient. Si vous ne savez pas quoi répondre, choisissez la réponse qui se rapproche le plus de votre personnage.

Quel est pour vous l'homme/ la femme idéal(e) ?
◆ pourquoi se contenter d'une personne quand on est bien à trois ou quatre ?

Votre film favoris ?
◆ Ménage à trois, l'amour moderne, le changement !

Vous voulez surprendre votre conjoint avec une soirée de rêve vous choisissez quoi ?
★ Un club de strip-tease mixte, avec un peu de chance ça la/le dégoûtera assez pour me laisser tomber !

Votre plus longue relation amoureuse ?
▆ En général quelques heures le temps de baiser comme des lapins et on passe à autre choses. Bon des fois on peut dire que ça dure deux voir trois jours entiers.

Si vous vous retrouvez dans la situation suivante : vous fréquentez quelqu'un depuis quelque temps et (elle vous annonce) vous lui annoncez que vous êtes enceinte. Comment réagissez vous ?
★ T'es sûr que c'est moi le père ? Ou Je suis pas sûre que tu sois le père par contre...

+ si vous avez un maximum de ★, vous entrez dans le groupe : the cheating curve, avec un maximum de ♡ vous êtes dans the monogamists. Par contre si vous avez un maximum de ▆ vous appartiendrez au groupe the fuck budy, avec un max de ◆ se sera pour vous le groupe a bed for three. Et pour ceux qui ont un maximum de ▲ ce sera le groupe the drought. Pour plus d'information sur les groupes rendez vous dans ce sujet.

♂♀ This isn’t about stripping, it’s about striping

elle n'a pas de surnom et n'en veux pas + elle n'a jamais eu un caractère très facile, rendant folle sa mère plus jeune mais encouragé par les sourires amusés et fiers de son père + elle n'aime pas beaucoup porter des robes ou bien des jupes, les troquant assez facilement contre des jeans qu'elle trouve bien plus confortables + elle ne peux pas rester sur quelque chose de non éclairci, elle se sentira obligée de toujours aller chercher le pourquoi du comment + Cassandre adore également changé de couleur de cheveux du blond passant au châtain clair voir foncé au noir des plus sombres. + elle ne quitte pas ses converses, quand elle porte des talons hauts c'est une véritable torture et non loin traine sa vieille paire de converse qu'elle voue telle une bible+ elle possède une photo de sa famille dans son sac qu'elle ne quitte jamais tout comme une photo de son frère et elle + elle est du genre carnivore et adore les fast foods, les régimes c'est absolument pas pour elle + elle est passionnée de courses de voiture, la limite ne fait pas partie de son vocabulaire, elle aime les bolides + elle aime pas parlé de sa famille encore plus de son père décédé sur la chaise électrique + elle a fuit sa ville natale à cause du scandale de son père + la téquila est sa meilleure amie + elle a un grand frère +

Spoiler:

♂♀ Just get me a really big closet

PROLOGUE « La perfection d’un ange » ...
L'illusion est la plus totale, regardez cette fille elle a tout pour être heureuse de son jolie minois si innocente, sa vie semble pleine de vie et d'espoir ou les mots joies et bonheur doivent illuminée sa vie à chaque jour. Sa peau porcelaine trop fragile doit surement spécifié qu'elle a toujours eu ce qu'elle désirait. L'apparence totale d'une vie que beaucoup qualifierait de parfaite. Ma vie, mes amours et mes emmerdes sont bien loin de l'image que l'on me lance. Je suis née dans une famille loin d'être conforme aux idéologies américaine. Vous lirez en moi ce que vous désirez tandis que derrière le rideau de ma famille vous y verrez une vie détruite et brisé par un père bien trop machiavélique qui a certainement dût se prendre pour Dexter dans une vie antérieure. Le diabolique connue sous le nom de Jack l’Éventreur, un père, une légende, un imitateur, une frayeur, un cauchemar il était tout et rien à la fois. Ma mère, fragile, brisée autant que la mort me laisse ce souvenir si douleur ou le poison semble se glisser en moi ai-je hérité de ce défaut j'en ai bien peur et puis il y a lui, un sauveur, un tireur, un frère loin du doute il est à la fois ma vie, mon oxygène, celle que je suis, mais de nos regards croisés s'y lisent une douleur silencieuse celle d'une colère, d'un refus de voir la vérité en face. Je l'aime comme je lui en veux de ne pas ouvrir les yeux de devenir ce paternel qui se soit brulé les ailes aux portes de l'enfer. Pourtant derrière ma colère y voit un frère auquel j'ai besoin, un tout qui me rappelle qu'il est finalement ma seule et unique famille. La seule qu'il me reste.

Chapitre I « what kind of hearts doesn't look back » ...

« Je veux un chien. »
« Non. »
« Je veux un chien. »
« Cass', non ! »
« Je veux un... »
« Ça suffit ! »

Je n’étais qu’âgé que de sept ans mais j’avais déjà un caractère fort rendant folle ma mère. Enfant gâtée, je contemplais ma mère avec insistance : je voulais un chien ! Nous étions face à l’animalerie et je lui faisais une crise, une de mes nombreuses crises. Elle s’était accroupie face à moi et commença à m’expliquais que nous étions ici que pour acheter de la nourriture pour le satané piaf de notre voisine du dessus et qu’un chien c’est sale, inutile et répugnant et que j’étais irresponsable pour avoir un animal de compagnie. C’était toujours la même rengaine depuis qu’elle m’avait forcé à aller voir une psychologue, et que cette idiote lui avait conseillé de se placer à la même hauteur que moi et de m’expliquais les choses calmement. Pathétique. Ma mère n’était ni stricte ni ferme et j’avais toujours pris un malin plaisir à la rendre folle. A quoi bon d’être sage si tout enfantillage lui était prohibé ? C’est ainsi que pendant tout son discours, je hochais la tête, un sourire au coin avant de réclamais d’une voix détachée « je veux un chien ». Un soupire franchi les lèvres de ma mère avant de proclamait qu’elle deviendra chèvre avec cette petite, j’émis un bref rire discret et étouffé en suivant sa silhouette dans la boutique.

Un bonjour chaleureux du vendeur nous accueillit et tandis que ma mère était partie chercher la nourriture pour l’oiseau de Mme Miller, notre voisine, je l’attendais sagement –ce qui annonçait rien de bon- observant chaque détail de la petite boutique avant de me dirigeais vers le comptoir et faire le tour sans préavis pour me retrouvais devant un vendeur quinquagénaire troublé. « Vos chiens sont moches et gras. » « Cassiiiiiiiiiie ! » Je me retournais vers ma génitrice, rouge de honte et prête à défaillir. Elle avait toujours eu cette peur d’être humiliée en public et l’ayant bien compris, j’avais un malin plaisir de déjouer les codes de la bonne société. Le vendeur eut un sourire forcé, non sans avoir assuré à la jeune femme qu'il n'y avait rien de mal dans un frémissement agacé. Ma mère rouge de honte marmonna quelques mots acides mais inaudibles en prenant ma main pour me sortir rapidement de l’animalerie. Mais frustrée et enfant roi, je tapais des mains et des pieds en hurlant que je voulais un chien ! Morte de honte, ma mère qui n’arrivait pas à me sortir de là n’avait pas d’autres choix que de prendre le premier chiot venu pour payer la dette de sa chère enfant face à son insolence. Un regard vers la boule de poil avant d'esquisser un sourire ravi et triomphal. J’avais mon chien mais bien sûr, ma génitrice mort de honte ne remis plus jamais les pieds dans l’animalerie. Elle avait bien entendu raconté toute l’histoire à mon paternel attendant qu’il me réprimande et m’explique surement les mœurs et les valeurs de la société. Mais en écoutant le scandale et l’insolence que j’avais eu envers le vendeur, selon ma mère, mon père étouffa un rire et sous le regard noir de ma mère à son égard, il me réprimanda comme il le faut.

Il est vrai qu’à sept ans, j’étais une gamine insupportable. Rideaux déchirés, poissons rouges étouffés, cible de fléchette improvisée dans un tableau ancien et ne parlons même pas du chien. Ah ça, le chien était décidément celui qui était le plus mal loti. Il avait dû goûter à toutes mes extravagances culinaires, il s’était fait étranglé par un filet de poisson, avait perdu une partie de ses poils grâce à la cire épilatoire de la maman Hawkins et plus récemment venait de devenir le modèle d’un magnifique tableau de peinture. Mais il était beaucoup plus beau de cette couleur ! Et en grandissant, je ne m’étais pas améliorée. J’étais toujours délurée, extravagante, pétillante, j’aime les situations dangereuses et je continuais à faire mes conneries sous le regard de ma chère mère. Elle était lasse et même si ses cris résonnaient souvent dans la maison, il était évident qu’elle n’avait plus aucun espoir de me voir changer.

CHAPITRE II : La folie n'est pas tant effrayante, lorsque l'on sait la cerner. Je me suis toujours convaincu du fait qu'un fou était plus heureux qu'un homme sain d'esprit : il vit dans son monde et personne ne vient percer sa bulle.

Asile : toit promptement nommé ainsi pour abriter non pas les simples d'esprit, ni même ceux dont on jure que la façon de penser est anormale, aucune définition d'aucun dictionnaire ne faisait le poids à mes yeux. Ma mère était internée dans les locaux psychiatriques de l'hôpital depuis quelques années déjà. Je me souviens de ce jour-ci comme si c'était hier, car il marqua les prémices de mon reniement total envers ma mère qui pourtant m'aimait tant. Ce vingt-quatre janvier fut celui où officiellement, du haut de mes dix-huit ans, ou j’avais perdu ma mère. Je lui rendais visite tous les samedis et elle me répété sans cesse, encore et toujours la même question : Qui êtes-vous ? Et la voir oublier de mon nom jusqu'à mon existence me mettait hors de moi. Je me sentais coupable de sa situation. Je me disais que tous cela étaient de ma faute, du fait que j’avais été une enfant difficile. Elle avait voulu mettre fin à ses jours, ce suicider. Une tentative qui échoua et qui la transforma en légume. Depuis le 24 janvier était une journée difficile pour moi. Cette année ma carapace d’acier s’était fissurée et je pleurais à chaude larme sous un arbre. Mes genoux replié et mon corps tremblant de tout mes membres, je souffrais. Je voulais le réconfort de ma mère, l’entendre m’appelait par mon prénom, et même me hurler dessus face à mes nombreuses conneries. J'avais toujours pensé qu'elle avait voulu se suicider à cause de moi, de mon caractère, que j'avais du la rendre vraiment chèvre. Mais quelques années, j'avais enfin compris pourquoi. Elle avait su la véritable identité de mon père. Une mère folle, un père meurtrier, un frère qui ne pense qu'à sauver notre paternel de la chaise électrique : la poisse et la malchance s’étaient accroché à notre famille comme un chien fidèle.

Chapitre III « Open your eyes » ...

« Un cadavre gisait à terre, encore chaud. Tombée sous les foudres d'un revolver. Le bruit sourd de l'homme tombé à terre arracha un léger sourire au meurtrier vêtu d'élégance, portant sur lui un costume sombre, de pair avec son regard et ses cheveux d'ébènes. Ses pas résonnèrent dans le salon, l'intrus ne se gêna pas pour aviser les lieux, s'emparant d'objets ici et là avant de les laisser tomber à terre pour ceux qui ne présentaient que peu d'intérêt. Les prunelles ténébreuses de Callen glissèrent sur un cadre de verre posé sur un buffet, renfermant une photo mouvante de cet homme à présent sans vie, aux côtés d'une jolie jeune femme blonde aux yeux émeraude. Le regard meurtrier et plein de mauvaises intentions, il se leva vers le long couloir plongé dans l'obscurité. Le cadre glissa de ses doigts fins avant de se briser sur le sol, transformant le verre en une poussière d'étoiles tranchantes. Déterminé, Callen avança à pas assuré à travers le couloir, avant de se poster derrière une porte qu'il ouvrit avec une étrange douceur. Arborant un sourire en coin, à la fois plein de promesses monstrueuses mais non dépourvu du charme du diable, Callen passa le seuil de la porte, se trouvant face à une fine silhouette enveloppée dans de fines couvertures. La femme étendue dans le lit ouvrit les yeux, l'inconsciente venait de se réveiller et était à des lieux de penser avoir affaire à l'envoyé du Diable. Elle s'étira tel un félin, son regard émeraude glissant sur la silhouette entrecoupée dans l'obscurité de Callen. Ce dernier referma la porte, sans un mot, avant de s'avancer vers la jeune blonde qui avisa d'un air interrogatif cet intrus dont elle ne déterminait pas le visage. Avant de comprendre, de savoir qu’il avait vendu son âme au Diable. La petite blonde bondit alors du lit avant de se précipiter hors de la chambre, tremblante et paniquée, laissant le meurtrier se relever dans un soupir, exaspéré. Callen prit le temps de remettre son col en place avant de sortir à son tour de la chambrée, levant alors son regard sombre au ciel.

CALLEN «Tu veux jouer à cache-cache avec moi. »

Les pas de l’homme se firent entendre dans le couloir, délicieusement lents afin de laisser le temps à sa victime d'apprécier l'arrivée de son bourreau. Son regard noir se posait un peu partout, amusé et froid. Callen tendit alors l'oreille, bien qu'il était fortement probable que quelque part dans une pièce ou un placard, sa petite victime ne s'évertue à ne plus respirer afin que cela ne la trahisse pas. L'afflux de la peur des autres était tellement grisant. Callen se stoppa alors, dans le but de faire paniquer d'avantage sa victime. L'on était toujours moins en sécurité lorsque l'on n'entendait plus son bourreau s'approcher. D'un geste habile, il tourna la serrure de la salle de bain et poussa la porte d’un grincement sinistre qui laissa se dessiner la silhouette de la jeune blonde. Callen hocha la tête d'un signe de tête négatif, presque dans une moue narquoise.

CALLEN « La voilà, ta cachette ? Tu me déçois. »
BLONDE « Ne vous approchez pas... Qu'est-ce que vous voulez ? Partez ! » CALLEN- « Promis, je m'en vais. Laisse-moi te dire au revoir. »

La jeune blonde secouée de sanglots recula d'un pas, régie par la peur et l'effroi certain. Callen esquissa un sourire en coin avant de s'avancer, un couteau en main, jusqu'à faire reculer la jeune blonde contre le mur froid et carrelé de la salle d'eau. Le meurtrier s'approcha du corps frêle et tremblant de la jeune femme, laissant parcourir son souffle chaud sur la peau hâlée de sa victime qui frissonna alors. Il pencha la tête légèrement sur le côté, laissant ses doigts parcourir les lèvres ternes de la blonde terrifiée. Puis sans un mot, son couteau alla se planter sur son torse. Elle s'écroula à terre, dans un cri perçant qui se tut après quelques secondes, lovée sur le sol dans la position du foetus sous le regard froid de Callen. Une flaque de sang d'un rouge noir se forma auprès de la silhouette frêle parcourue de spasmes, qui tant bien que mal finit par se relever. Le meurtrier attrapa d'une main ferme la petite blonde qui, à bout de force, finit par retomber dans ses bras, entachant son costume sombre du sang de la victime. Il était affolant de voir combien la simple incision des veines au niveau des avant-bras laissait couler tant d'hémoglobine tout en affaiblissant atrocement la petite proie. D'un geste brusque et habile, le poignard vint entailler la chair de l'innocente, perforant son abdomen et lui ouvrant le ventre d'une découpe mortifère et bouchère. »

J’étais lové sur mon canapé alors que je regardais ce film tirée de fait réel, de celle de mon paternel. Jack l’Eventreur. Du moins l'imitateur. Cette affaire avait fait la une de tous les journaux, de la télévision, tout le monde en parler. Celui qui éventré ses victimes, un des tueurs en séries le plus rechercher a été retrouvé. J’avais 28 ans lorsque le scandale Hawkins avait éclaté, ma vie était partie en cendre. Les yeux dans le vide, les yeux dans le vague je revois cet homme, mon paternel, les mains menottés et accusé d’être un meurtrier. Je n’avais pas cru à tout cela, je m’étais indigné, comment mon père pouvait-il tuer de malheureuse victimes ? Comment aurait-il pu l’aient éventrés ? Non, les policiers voulaient juste un pauvre innocent pour calmer la foule qui réclamer qu’on enferme ce monstre appelé Jack l’Eventreur par la presse. Et pourtant, les preuves l’accablaient et il était bien ce bourreau pour ces malheureuses femmes assassinées. Je ne pouvais plus sortir de chez moi sans que la presse viennent me sauter dessus, sans que des passants m'insultent et me nomme la fille du Diable, sans ses regards perçant remplies de peine ou de haine. Je ne pouvais plus rester dans ma petite ville natale. J'ai supplié mon frère de quitter la ville avec moi, qu'on refasse une vie ailleurs, ensemble. Mais, il a refusé, il voulait sauver notre paternel de la peine de mort. Il voulait le sauver de la chaise électrique, lui qui avait tuer tellement de monde. J'étais dégoutée par son attitude, lui qui m'avait toujours servi de modèle. Le lendemain, je fuyais mon statut de fille de meurtrière qui me donnait des nausées pour venir à New York.

Ma Rim d'amour !!!
Bienvenue sur TMA. Que sa fait plaisir !

Ma Julia chérie I love you

Je pouvais pas, ne pas venir t'harceler sur TMA

En tout cas j'exige des liens avec tes deux persos Cassandre - t'es comme l'heroine une dose d'exase pour toute une vie d'addiction. 1226657488

Maggie, l'excellent choix de fou que tu fais I love you

( je l'avais avant, du coup garde moi un lien au chaud Cassandre - t'es comme l'heroine une dose d'exase pour toute une vie d'addiction. 95154518

) bienvenuuuue parmi nous What a Face

Comment ça fait trop plaisir de te voir ici Rim
Je n'ai pas oublié notre lien Charlie / Cassandre et j'ai hâte de lire ta fiche même si j'ai le privilège de connaître ton personnage

Nora, Jessica est tellement canon et savoir qu'en prime tu avais Maggie avant prouve que tu as un goût de luxe Cassandre - t'es comme l'heroine une dose d'exase pour toute une vie d'addiction. 3296566902

Cassandre - t'es comme l'heroine une dose d'exase pour toute une vie d'addiction. 3296566902

Pour le lien avec grand plaisir Cassandre - t'es comme l'heroine une dose d'exase pour toute une vie d'addiction. 3244172921

Ma Justine d'amour I love you

Et oui, tu es une VIP, la classe hein Cassandre - t'es comme l'heroine une dose d'exase pour toute une vie d'addiction. 918408393

Bienvenue parmi nous Very Happy

Bon courage pour ta fiche I love you

Maggie est tout simplement sublime Cassandre - t'es comme l'heroine une dose d'exase pour toute une vie d'addiction. 918408393

Invité

Quel choix de fou I love you

Bienvenue sur le forum !

Invité

Bienvenue entre le choix d'avatar et tout ce que tu as noté ça envoie du lourd Cassandre - t'es comme l'heroine une dose d'exase pour toute une vie d'addiction. 3878422183

Cassandre - t'es comme l'heroine une dose d'exase pour toute une vie d'addiction. 3878422183

Merci tout le monde I love you

Brent, ton choix de pv est vraiment top (si je me trompe pas

), j'avais hésité sur plusieurs pvs, scénarios avant de me lancer sur un perso inventé Rolling Eyes

So, je veux un lien Cassandre - t'es comme l'heroine une dose d'exase pour toute une vie d'addiction. 1226657488

Invité

Oui oui c'est bien un pv merci beaucoup Cassandre - t'es comme l'heroine une dose d'exase pour toute une vie d'addiction. 2481879962

et pour le lien ce sera avec plaisir Cassandre - t'es comme l'heroine une dose d'exase pour toute une vie d'addiction. 852563886

Histoire captivante et délicieuse Cassandre - t'es comme l'heroine une dose d'exase pour toute une vie d'addiction. 95154518

Je te valide avec grand plaisir Cassandre - t'es comme l'heroine une dose d'exase pour toute une vie d'addiction. 1617442796

Et t'invite à venir découvrir ton groupe d'amie en allant ici. J'en profite pour t'inviter aussi à découvrir les activités du forums en faisant un détour par-là Cassandre - t'es comme l'heroine une dose d'exase pour toute une vie d'addiction. 852563886

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